HISTOIRE DU CHÂTEAU
Le Château de Honnechy possède une longue histoire, jalonnée de faits assez remarquables et très intéressants.
Jusqu'à maintenant, les plus anciens documents que l'on ait pu recueillir au sujet de l'existence d'une seigneurie à Honnechy remontent au début du 13 ème siècle.
La période du Moyen-Âge
À l’origine, c’est un château fort qui fut construit aux alentours de 1300 à l’emplacement même de celui existant actuellement. Ce château défendait la région contre les invasions de certaines tribus venues du Nord. Par la suite, la forteresse devint une propriété de la châtellerie de Guise et de Busigny. De cette époque, il ne reste aujourd’hui qu’une partie du mur d’enceinte que l’on découvre à droite en pénétrant par l’entrée principale du château.
Il faut noter ici qu’à ce moment-là, un bois entourait les fortifications jusqu’à la chaussée Brunehaut. Diverses appellations du terroir rappellent encore l’origine féodale : le Champ du Seigneur, le Champ de la Cognée, Bois Madame, Chemin des Charbonniers (forêt charbonnière ancestrale où l’on fabriquait le charbon de bois), les Essarts, etc …
L’entrée se trouvait à l’arrière de l’édifice actuel. Le « Bois Madame » qui jouissait d’une très large allée permettait de se rendre à la ville du Cateau sans passer par le village.
Le château fort de Honnechy ressemblait sans doute à celui-ci (d’après archives)
Le château fort en question possédait des caves qui donnaient accès par un escalier d’une vingtaine de marches au souterrain situé à 40 mètres au dessous du niveau du sol. Celui-ci était encore praticable dans une grande longueur au début du 20 ème siècle : aujourd’hui, il est possible d’emprunter ce souterrain sur 40 mètres seulement, l’autre partie ayant été murée.
En fait, selon certains témoignages, il aurait existé plusieurs ramifications si mal identifiées qu’il était facile de se perdre dans un tel labyrinthe.
La certitude est l’existence à l’intérieur de ce périmètre, dans les caves de quelques demeures, diverses entrées de souterrains et de salles nommées "cambres". En particulier, il est dit qu’un souterrain conduirait d’un côté, vers l’église du Cateau, soit une distance de 8 kms environ et de l’autre, aux portes de Guise, c’est-à-dire une distance supérieure à 26 kms !
Enfin, il existe encore deux puits de 25 mètres de profondeur, non loin des caves, ce qui indique qu’ils se situaient à l’époque dans la cour du château fort.
Ces caves et souterrains datent du début du XIV ème siècle.
De la période dite du "Moyen-Âge", il ne reste rien de bien marquant, si l’on s’en réfère aux écrits et aux archives du moment.
Seules quelques rares anecdotes sont mentionnées dans une copie d’un texte sans date, mais supposé être des environs de l’année 1350 ; cependant, aucun élément ne permet aujourd’hui d’authentifier cet écrit.
La période de la Renaissance
Cette époque ne serait pas plus riche en évènements que la précédente, s’il n’y avait pas la présence d’un grand fait historique survenu le 3 avril 1559.
Ce jour-là, un vendredi vers 15 heures, est signé le traité du Cateau-Cambrésis. Par cet acte de paix ratifié avec le roi d‘Espagne Philippe II, le roi de France Henri II met un terme à un demi-siècle de guerres d’Italie stériles et ruines.
L’ancien château de Honnechy (celui représenté par la forteresse) fut l’un des lieux mythiques de cette entrevue politique : dans les faits, plusieurs émissaires et adjoints avaient accompagné le roi de France au moment de la négociation des accords. Certains ont séjourné au château pendant plusieurs jours ainsi que quelques écrits datant de cette époque paraissent le confirmer.
De la Renaissance à la Révolution ...
La propriété de Honnechy appartenait jusqu’à la fin du XVIIème siècle à Hyacinthe prince de Ligne et Marquis de Mouy. Elle cédée vers 1705 à Nicolas Lemoine issu d’une famille catésienne.
La seigneurie est alors très importante, le père et le grand-père l’ayant bien réimplantée avec la construction du château, d’une grande ferme et d’un moulin à "faire la farine".
Dans la réalité, ils avaient de grands moyens suite aux importantes fonctions qu’ils avaient exercées par le passé.
La naissance du nouveau château (1706 – 1720)
Le château actuel construit sur les vestiges de la forteresse a été édifié à partir de 1706. Il semble que l'édification se soit terminée vers 1719 / 1720, ainsi que l'indique une pierre gravée au-dessus de la porte d'entrée.
Quand on examine sa construction, le château présente un bâtiment central flanqué de deux ailes avec un étage composé de briques, de pierres de taille blanches (calcaire), et de pierres bleues (grès).
Ce bâtiment édifié sous la Régence conserve des particularités de style Louis XIV, notamment dans la décoration intérieure. L'imposte stylisée de la porte d'entrée est particulièrement élégante : elle représente un soleil levant couronné de laurier, ceci pour rappeler le règne grandiose du Roi Soleil.
Avec ses larges fenêtres bien disposées encadrées par de la pierre, ses deux ailes bien dégagées, bien que non symétriques, son grand parc, la résidence était à l'origine une très belle gentilhommière. On peut déplorer aujourd'hui la disparition de la chapelle démolie pendant la Révolution, mais certains plans récupérés en archives pourraient permettre de la reconstruire comme à l'origine.
Il existait aussi, d'immenses granges dans les pâtures entourant le domaine. Elles furent incendiées en octobre 1918 par les Allemands lors de leur retraite qui, par miracle, épargnèrent le château. A noter que l'édifice possède une magnifique charpente en chêne qui est un véritable chef-d'œuvre d'assemblage.
Côté jardin, on remarque une belle porte qui est encadrée de deux pilastres en pierre de taille qui supportent un fronton triangulaire. Ce fronton reflète le souvenir du prestigieux Fénelon, archevêque de Cambrai en 1695 qui vécut quelques mois au château peu avant sa mort survenu le 7 janvier 1715.
Le château de Honnechy aux alentours de 1730
Côté cour, au-dessus de la porte d'entrée, l'imposte est ornée d'un écusson datant de la fin de la construction en 1720.
Cette pierre est placée au milieu du linteau de la porte d'entrée et sa fonction était alors de mettre une construction neuve sous la protection divine.
La lecture en est la suivante : SIT NOMEN DOMINI BENEDICTUM "que le nom du Seigneur soit béni".
Les lettres I.H.S. y sont gravées, une petite croix étant placée au milieu du H.
Il s'agit des trois premières lettres grecques du nom de Jésus, lues ensuite en latin comme les initiales de Jesus Salvator Hominom, en français Jésus Sauveur des Hommes.
C'est un sigle traditionnel dans les symboles chrétiens.
En dessous un coeur percé de trois clous est le symbole du Sacré-Coeur avec les trois clous symboles de la crucifixion.
Les branches l'entourant sont purement décoratives, mais on peut y reconnaître le symbole de la vie, donc de la résurrection.
L'imposte stylisée de la porte d'entrée est particulièrement élégante : elle représente un soleil levant couronné de laurier, ceci pour rappeler le règne grandiose du Roi Soleil.
Les intérieurs
D’après les archives d’époque, la configuration actuelle du château n’a guère changé depuis sa construction.
À l'intérieur, subsistent 13 pièces, 9 au rez-de-chaussée, et 4 à l'étage.
Les plafonds ont une hauteur de 4,20 mètres.
L'espace entre plafond et plancher est rempli de 60 cm de cendres. Cela présenterait le double avantage d'isoler et de servir de coupe-feu en cas d'incendie, les cendres tombant dans les flammes.
Cependant, on peut déplorer la disparition du grand escalier qui a été démoli aux alentours de 1950. De même, la rénovation de certaines pièces n’est pas été réalisée dans les règles de l’art, et ces modifications regrettables exigent une véritable restauration.
Quoi qu’il en soit, l’ensemble de la demeure na pas été trop endommagé malgré certains dégâts importants survenus au cours de la Première Guerre Mondiale et on ne peut que s’en réjouir.
La dynastie de la famille Lemoine
Le grand père de Nicolas, Michel Lemoine, vivait au château de Vendeuil. Nicolas (1er du nom) Lemoine, son père, mourut au château du Mouy en 1712.
Nicolas (2 ème du nom) devint possesseur de Becquigny et d'Honnechy.
Sa date de naissance ainsi que celle de sa mort restent encore inconnues à ce jour.
Il était marié à Françoise Cotteaux et fut le père d'une famille nombreuse, dont Nicolas Lemoine qui, troisième du nom, prit la succession de son père jusqu'en 1773 (il était né en 1709). Nicolas (4ème du nom) prit la succession de son père en 1773.
Il épouse vers 1760 Alexandrine Flescher dont il aura deux enfants : Adélaïde épouse Vitaux, et Honorine épouse Sauvel.
Il ne peut imaginer alors que ses droits féodaux disparaîtront 16 années plus tard au moment de la Révolution.
Il faut dire qu’alors, la vie au château de la famille Lemoine, seigneurs de Honnechy de 1706 à 1789 fut plutôt brillante. La belle demeure était un lieu de fêtes et de plaisirs où se rassemblaient les membres d’une noblesse régionale huppée.
La fin d’une époque et la Terreur au château
Bientôt, les évènements révolutionnaires allaient changer l’existence d’une société privilégiée et les propriétaires du château de Honnechy n’échappèrent pas à la tragédie que connut la plupart des aristocrates de province.
Pendant les quelques mois qui suivirent la prise de la Bastille le 14 juillet 1789, la vie à Honnechy ne fut guère changée au sein de la demeure, malgré les rumeurs alarmantes qui grandissaient de jour en jour et de semaine en semaine. Ce n’est qu’à l’été 1790 que la situation s’aggrave et bientôt la peur s’installe peu à peu au château. Une peur qui va grandir au fil des mois pour changer en un effroi persistant. Puis c’est l’épouvante qui transforme les jours et les nuits de la famille Lemoine en moments de très grande angoisse et de désespoir.
En effet, dans cette période de grand trouble public, sévissent dans la région quelques groupes de révolutionnaires conduits par Joseph Le Bon. Ce dernier, originaire d'Arras, est devenu député de la Convention. Il poursuit sans pitié les royalistes d'une manière effrénée, et entre dans le terrible processus de la Terreur. Ayant toute autorité sur le tribunal révolutionnaire de Cambrai, il persécute sans état d'âme la noblesse de la région et notamment s'apprête à faire arrêter Nicolas Lemoine, ses filles et ses descendants. Alors que certains membres de la famille réussissent émigrer vers la Belgique, les autres sont restés au château. En cette fin du mois du juillet 1794, Joseph Le Bon prépare leur arrestation, mais la chute de Robespierre le 15 thermidor an II (2 août 1794) entraîne sa fuite, puis son arrestation. Il est alors accusé par ses détracteurs, d'assassinats juridiques, d'oppression des citoyens en passe, d'exercice de vengeances personnelles ainsi que de vols et dilapidations.
Condamné à mort le 19 vendémiaire an IV (11 octobre 1795), il sera exécuté 5 jours après, soit le 24 vendémiaire de la même année (16 octobre 1795).
Ainsi, les châtelains de Honnechy parviennent à sauver leur vie, mais se séparent du domaine quelques années plus tard.
Dans certains écrits, on relève qu’au début de la Révolution, Nicolas Lemoine et sa famille avaient quitté le château pour vivre à Cambrai. En effet, sa fille Honorine qui vivait dans cette ville, sera amenée à Compiègne pour être emprisonnée en 1794.
De son côté, la famille Sauvel semble avoir émigré ensuite vers la Belgique.
Quant à la famille Vitaux, elle fut très suspectée en raison de ses attaches avec le Clergé. Elle échappera de peu à la guillotine au moment de la Terreur.
Plus tard, on retrouvera la trace de cette famille en juin 1801 dans un acte de vente d'une partie du château par la veuve Alexandrine Lemoine Flescher et sa fille Honorine épouse séparée Sauvel à leur fille et soeur Adélaïde, épouse Vitaux (maire d'Honnechy).
En 1813, Marie Alexandrine (veuve Lemoine) vend des archives.
En 1813 également, a lieu l'expropriation forcée du château qui est vendu alors à Mr et Mme Bruneau le 24 juin par les époux Vitaux-Lemoine.
À cette époque, malgré de nombreuses recherches, on perd définitivement la trace des descendants des derniers seigneurs d'Honnechy.
Par la suite, les fils Bruneau, héritiers de leur parents, vendent alors le château à Jean-Baptiste Cotteaux le 17 novembre 1818 avec une partie des terres. Le reste des bois et terres restant fut vendu en 1821 par les époux Vitaux-Lemoine et par leurs enfants.
Plus tard, en 1886, le château fut racheté par un notaire, puis passa ensuite entre les mains d'un industriel parisien vers 1900.
Par la suite également, le château sera vendu à plusieurs reprises et il passera alors entre de nombreuses mains, avec plus ou moins de bonheur faut-il l’admettre, la bâtisse ayant subi au fil des années certains outrages demandant aujourd’hui réparation et restauration.
La légende ...
Ce château possède ses légendes : une malédiction se serait abattue sur ses habitants depuis que les seigneurs du temps féodal auraient brûlé l'effigie d'une vierge noire.
Et aussi, selon la légende, il existerait un trésor bien caché dans la propriété, ainsi qu'un fantôme ! Mais à ce jour ni l'un ni l'autre n'ont été découverts … Mais la fable persiste !
Sauf que des fantômes de soldats allemands en détresse auraient été aperçus à plusieurs reprises à la tombée de la nuit après la Première Guerre Mondiale. Un phénomène qui se renouvellerait les soirs d'aurore boréale.
Le château de Honnechy en 1914
Les hôtes célèbres
Le château de Honnechy a connu quelques hôtes célèbres.
Lors de la Première Guerre Mondiale, le général britannique Horace Smith-Dorrien séjourna dans ce lieu quelques jours au moment de la bataille du Cateau (août 1914).
En 1939, au début de la Second Guerre, le général d'armée Gaston Billotte s’y arrêta une journée.
En 1943, pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'écrivain Pierre Dumarchey dit "Pierre Mac Orlan", fit une courte halte au château avant de rejoindre Valenciennes.
Quelque temps plus tard, c'est un autre écrivain célèbre qui passera plusieurs jours au château de Honnechy.
Il s'agit de l'académicien André Maurois (de son vrai nom Emile Salomon Wilhelm Herzog) qui revint dans la région du Nord en juillet 1947 pour une visite souvenir de plusieurs sites de guerre. Son séjour au château n'était pas du au hasard. Honnechy jouxte la petite commune de Maurois que l'écrivain avait choisi pour prendre son pseudonyme d'homme de lettres.
Le château de Honnechy aujourd’hui
Après des heures passionnantes jalonnées d’évènements heureux ou sombres parfois, la belle demeure s’est endormie. À l’heure actuelle, la bâtisse située au cœur du village, disparaît derrière de grands arbres qui cachent sa prestance et sa beauté.
Peut-être un jour, après une véritable réhabilitation, le château retrouvera-t-il son prestige d’antan et revivra-t-il à travers des manifestations artistiques et culturelles.
HONNECHY, un village dans le Cambrésis
Le village de Honnechy est situé dans les Hauts-de-France, dans le sud du département du Nord, au cœur des plaines céréalières du Cambrésis et proche du bocage de l'Avesnois.
À vol d'oiseau, la commune est distante de 6,4 kms du Cateau-Cambrésis, 20,4 kms de Cambrai, 27,2 kms de Saint Quentin, 32,6 kms de Valenciennes et à 69,1 kms de Lille, la capitale régionale.
Honnechy est proche de la source de l'Erclin, affluent de l'Escaut.
Le village est traversé par la route départementale D115 qui relie Bertry à la D21 ainsi que par la D932, dite « Chaussée Brunehaut », une ancienne voie romaine qui reliait Bagacum Nerviorum (Bavay), l'ancienne cité des Nerviens, à Vermand, probablement ancienne cité des Viromanduens.
Le territoire communal est traversé également par la D21, du Cateau-Cambrésis à Bohain.
Côté transport, la commune est reliée au Cateau-Cambrésis et à Caudry par la ligne n° 328 du réseau routier départemental arc-en-ciel.
Le territoire d'Honnechy est desservi par deux lignes ferroviaires à voie double, divergeant depuis la gare de Busigny vers Cambrai et Lille d'une part, et vers Maubeuge et Bruxelles, d'autre part.
La halte ferroviaire de Maurois, sur la ligne n° 15 Saint-Quentin-Cambrai-Lille des TER Nord-Pas-de-Calais, est située sur la limite des deux territoires communaux de Maurois et Honnechy.
L’Histoire ...
Dès l'an 909, le village est mentionné sous le nom de Gundreceais, puis aux XIIème siècle, sous les dénominations Honnechies, Honesies, Huneneiæ, Curtios de Huneineis, Honechies, Hunechies, Gundrecheias, Huneciæ.
L'historien Louis Boniface fait dériver le nom du celta gondoa (« fond ») ou guen (« marais ») et interprète le nom comme « l'habitation près de l'eau ».
Le 20 décembre 911, Charles le Simple, roi de France, confirme au chapitre Notre-Dame de Cambrai la possession de terres à Gondrecheias (Honnechy).
Le patrimoine de la commune
Le château
Le château du village date du XVIIIème siècle et il est occupé depuis 1720.
Construit par l'architecte Nicolas Lemoine sur les ruines d’un ancien château-fort, il a conservé des traces de son origine médiévale.
Son seigneur Lemoine fut inhumé dans l’église du village.
Sa stèle est encore visible dans le chœur de l’église mais malheureusement martelée pendant la Révolution.
L’architecture du château rappelle étrangement celle du Palais Fénelon, qui abrite aujourd'hui le musée Matisse du Cateau-Cambrésis, ce qui lui vaut le surnom de « Petit Fénelon » ou « Frère du Musée Matisse » qui se situe à 5 kms.
Le domaine actuel s’étend sur 7.500 m2.
Les caves et les souterrains datent du XIVème siècle.
Autres curiosités
La chapelle Saint Éloi, la chapelle Saint Roch et l’église Saint Martin.
Le cimetière de la Commonwealth War Graves Commission abrite 455 tombes de soldats du Commonwealth, dont 348 sont identifiées.
La commune de Honnechy fit partie du théâtre de la bataille du Cateau en août 1914, et resta sous contrôle de l'Empire allemand de cette date jusqu'au 9 octobre 1918, quand la 25ème Division et la 6ème Brigade de cavalerie britanniques la reprirent.
Les historiens de la commune
- Anne-Marie Ioos-Lictevout, pour son ouvrage Honnechy, monographie sur l'historique et sur la vie du village d'Honnechy du XVIIIème siècle à nos jours*.
- Louis Boniface pour son Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai.
Date de dernière mise à jour : 29/07/2018